Pentest infrastructure réseau

Le pentest réseau

Pourquoi réaliser un pentest d’infrastructure réseau ?

Le pentest d’infrastructure et réseau consiste à simuler des attaques ciblant les réseaux, serveurs, équipements et services exposés, afin d’en évaluer la résistance et détecter les failles compromettantes pour la confidentialité, l’intégrité ou la disponibilité des données

Comprenez votre sécurité

Un pentest permet d’identifier les mesures de sécurité efficaces et celles à renforcer, tout en offrant une vision claire de la posture globale de sécurité de l’entreprise.

Protégez vos données

Les scans de vulnérabilités, bien que utiles, restent moins exhaustifs et devraient compléter, plutôt que remplacer, un pentest.

Un test d’intrusion réseau permet d’identifier les vulnérabilités et de protéger les données contre tous les points d’entrée possibles.

Prévenez les violations de données

L’analyse proactive des vulnérabilités réseau réduit considérablement le risque de fuite de données. Le pentest renforce la sécurité globale grâce à des évaluations ciblées et des analyses cybersécurité.


Il permettra de révéler une large palette de vulnérabilités : authentification et autorisation défaillantes, erreurs de configuration, failles cryptographiques ou encore attaques par injection ou déni de service

Vulnérabilité Description
Protocoles obsolètes ou mal configurés Utilisation de protocoles anciens ou non sécurisés (ex. LLMNR, NBT‑NS, SMB sans signature, UPnP, SSDP) exposant le réseau à l’usurpation ou aux attaques par amplification.
Mauvaise segmentation réseau Absence ou insuffisance de segmentation permet une propagation latérale des attaques une fois le réseau pénétré.
Patching et firmware obsolètes Systèmes, équipements ou firmwares non mis à jour, laissant le réseau vulnérable à des failles connues (ex. Name:Wreck, Log4Shell).
Mots de passe faibles ou défauts d’authentification Usage de mots de passe faibles, absence de MFA, ou pratiques de gestion peu sanitaires augmentant les risques d’accès non autorisés.
Exposition de services superflus Services inutiles ou non sécurisés (ex. ports ouverts, services administratifs), offrant des vecteurs d’entrée potentiels pour l’attaqueur.
Attaques de type Man-in-the-Middle (MITM) Interception ou altération des communications via ARP spoofing, DNS spoofing, ou proxy malveillant, compromettant la confidentialité et l’intégrité des échanges.
Erreurs humaines / ingénierie sociale Techniques de phishing ou manipulation ciblant les utilisateurs pour obtenir des accès ou contourner les sécurités techniques.
Risques sur les dispositifs IoT ou périphériques critiques Objets connectés vulnérables (ex. routeurs, consoles, inverseurs solaires) utilisés comme portes dérobées ou pour amplifier les attaques.

 

Une méthodologie rigoureuse en plusieurs phases

La méthodologie pour réaliser un Pentest Infrastructure et Réseau suit un processus structuré et éprouvé. La première étape consiste en une planification minutieuse définissant les objectifs, identifiant les systèmes à tester et évaluant les risques potentiels. S'ensuit une phase cruciale de collecte d'informations où les pentesters recueillent des informations sur le système cible, tels que les adresses IP, les noms de domaine, les ports ouverts, les services disponibles et les informations sur les utilisateurs.

La phase d'analyse technique mobilise alors un arsenal d'outils spécialisés. Ces outils peuvent inclure des scanners de réseau comme nmap, des scanners de vulnérabilité comme Nessus, et des cadres d'exploitation comme Metasploit. Cette triangulation technologique permet d'obtenir une vision complète de la surface d'attaque et des points de faiblesse potentiels.

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